Idealista/news publie un article s’appuyant sur les données et analyses d’Albert Milián, Managing Partner de BARNES Barcelona, pour montrer comment le patrimoine architectural et les quartiers historiques tirent la valeur résidentielle de la ville. À l’heure de Mondiacult 2025, la culture n’est pas qu’un souvenir : elle attire la demande internationale et consolide le prime.
Dans l’Eixample, Ciutat Vella et Gràcia, le segment luxe se stabilise au-delà de 7 000 €/m², avec des transactions exclusives > 10 000 €/m² dans des immeubles classés ou des réhabilitations d’exception. Rareté patrimoniale et appétit des acheteurs globaux soutiennent la tendance malgré l’incertitude.
L’article souligne aussi le rôle des acheteurs internationaux dans la réhabilitation des immeubles singuliers ces 15 dernières années : des biens qui marient âme culturelle et standards actuels (efficience, domotique, confort). Pour ce public, acheter en zone protégée est un choix patrimonial à résilience cyclique.
Comme à Paris, Rome, Lisbonne, Barcelone bénéficie d’un avantage différenciant : identité forte, scène culturelle vivante et parc historique qui crée de la valeur lorsqu’il est réhabilité avec exigence. L’enjeu : préserver et investir de manière durable.
Chez BARNES Barcelona, nous l’observons chaque jour : acheter dans un quartier patrimonial, c’est acquérir une histoire et un art de vivre. Pour vos projets d’immobilier de luxe à Barcelone, nous contactez.
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